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Ads for Sweeps on 2024-12-02

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2,567,306	/src/Template/Ads/index.ctp (line 281) null	Yes	2024-12-02 18:36	active	1949		🎁HOLIDAY GIVEAWAY 🎁 We’ve partnered with our friends at Jetpack Bags to give away three of their most popular DJ bags, complete with customization. The winners can choose from the Slim, Prime, or XL. To enter, follow @jetpackbags @CrateConnect and click the link below. http://bit.ly/49ygXu1 The winner will be announced on December 2nd, 2024 Make sure to check out https://www.jetpackbags.com/ for all your DJ Travel needs! #CrateConnect #JetPackBags #DJBags #MusicPool #DJPool #MusicPool #TheHypsIsReal #DJ #DJs #DJGiveaways #DJing	LEARN_MORE	http://bit.ly/49ygXu1	Crate Connect	https://www.facebook.com/CrateConnect/	44,488	1969-12-31 18:00	Learn more	us11.list-manage.com	IMAGE		http://bit.ly/49ygXu1	1969-12-31 18:00	https://scontent-iad3-1.xx.fbcdn.net/v/t39.35426-6/468937874_1569702697247777_1171216258842007491_n.jpg?stp=dst-jpg_s60x60&_nc_cat=108&ccb=1-7&_nc_sid=c53f8f&_nc_ohc=v-1OCcVL4dkQ7kNvgH9ayot&_nc_zt=14&_nc_ht=scontent-iad3-1.xx&_nc_gid=A0MccWVYh20IKD6hF0k83wh&oh=00_AYCq_T9wcJqnvoJ0Z8kauWH52zQBo3RcWL672Z_mUHT1WA&oe=67542A36	PERSON_PROFILE	0	Crate Connect	1969-12-31 18:00	View Edit Delete
2,572,731	/src/Template/Ads/index.ctp (line 281) null	No	2024-12-02 20:12	active	1952	Continuer la lecture	"« Si tu acceptes d'être ma maîtresse pendant cinq ans, je peux garantir la sûreté de ton père. » Se faisant trahir par son ex-petit ami, Rena ne s'attend pas à ce qu'il lui demande de devenir sa maîtresse. === === === Chapitre 1 Un gros bonnet Dans une chambre d'hôtel faiblement éclairée, Rena Gordon embrassait passionnément un bel inconnu. Plus tôt dans la soirée, l'ex-petit ami de Rena, Harold Moore, avait annoncé ses fiançailles avec une autre femme. Rena avait été tellement bouleversée qu'elle s'était retrouvée, d’une marnière ou d’une autre, dans la chambre d’un inconnu. À présent qu'Harold était sur le point d'épouser une fille riche sans tenir compte de ses quatre années de relation avec Rena, celle-ci pouvait se permettre de se faire plaisir, n'est-ce pas ? Au moment où l'homme lui a retiré ses vêtements, Rena s'est appuyée sur l'épaule de l'homme et s'est laissée aller en murmurant : « Harold ! » L'homme s'est brusquement arrêté, quelques secondes plus tard, les lumières se sont allumées. La lumière vive a provoqué un plissement des yeux de Rena. Mais lorsque ses yeux se sont enfin adaptés à la lumière, elle a vu clairement le visage de l'homme. C'était Waylen Fowler, l'avocat le plus recherché du pays. Il était très célèbre dans les milieux juridiques, et il était une élite avec d'innombrables propriétés. Mais le plus important, Waylen Fowler était le futur beau-frère d'Harold. Rena a dégrisé instantanément. Adossé au mur, Waylen lui a demandé avec un léger sourire : « À quoi pensais-tu tout à l'heure ? Voulais-tu le faire pour rendre Harold jaloux ? » Manifestement, Waylen venait aussi de la reconnaître. Rena ne pouvait pas faire semblant de ne pas connaître cet homme. Waylen était célèbre, après tout. Rena ne l'avait pas reconnu tout à l'heure simplement à cause de l'alcool. Comme Rena savait qu'elle ne pouvait pas se permettre d'offenser un tel personnage, elle a baissé la tête et a présenté ses excuses docilement. « Je suis désolée, M. Fowler. Je ne savais pas ce que je faisais. » Heureusement que M. Fowler ne lui a pas compliqué les choses. Après la conversation, Waylen s'est redressé et lui a lancé un manteau. « Mets-le, je te ramène. » Rena l'a remercié doucement. Dans la Bentley de Waylen, bien qu'aucun des deux n'ait parlé pendant tout le trajet, Rena jetait de temps en temps un coup d'œil à l'homme. L'homme avait un visage anguleux et une mâchoire parfaite. Bien que Rena ne connaisse pas la marque de la chemise qu'il portait, elle pouvait constater qu'elle était très chère. Après quelques minutes de silence, Waylen a arrêté la voiture devant leur destination. Il a tourné légèrement la tête et a regardé les jambes fines et droites de la jeune femme pendant quelques secondes avant de lui tendre sa carte de visite. Rena comprenait ce que cela signifiait. Elle était surprise que Waylen veuille encore garder le contact avec elle après avoir découvert son identité. Malgré le fait qu'il soit charmant, Rena a hésité. C'était une mauvaise idée de s'embrouiller avec un gros bonnet comme lui, alors elle a dit : « M. Fowler, nous ferions mieux de ne pas rester en contact. » Waylen a haussé les épaules d'un air indifférent. Rena était vraiment belle, mais Waylen ne la forcerait pas si elle n'était pas intéressée. Il a donc rangé sa carte de visite dans sa poche et a dit : « Le conservatisme te va bien. » Rena était un peu gênée, mais avant qu'elle ne puisse répondre, Waylen est sorti de la voiture et lui a ouvert la porte comme un gentleman. Dès que Rena est descendue, la voiture s'est éloignée lentement. Une brise fraîche a soufflé sur elle, la faisant frissonner. C'est alors qu'elle s'est rendu compte qu'elle avait oublié de lui rendre le manteau. Pendant que Rena hésitait à essayer de le rattraper ou pas, son téléphone s'est mis à sonner. En jetant un coup d'œil à l'afficheur, elle a vu que c'était sa belle-mère Eloise qui l'appelait. La voix anxieuse de celle-ci a retenti à l'autre bout du fil dès qu'elle a décroché : « Rena, reviens à la maison tout de suite ! Il s'est passé quelque chose de grave ! » Rena a tenté de lui poser des questions, mais Eloise n'a pas réussi à lui expliquer clairement au téléphone et s'est contentée de la supplier de rentrer à la maison le plus vite possible. Chapitre 2 Pas un homme ordinaire Dès que Rena est entrée dans la maison, elle a trouvé Eloise assise dans le canapé, hébétée. Les yeux rouges d'Eloise donnaient l'impression d'avoir pleuré. Rena a regardé autour d'elle et a demandé avec anxiété : « Qu'est-ce qui s'est passé, Eloise ? Où est papa ? » Eloise était la deuxième femme du père de Rena. La femme n'a pas pu s'empêcher de s'effondrer à l'évocation de son mari. « Harold est tellement cruel ! Quand le Groupe Moore était en difficulté il y a quelques années, tu ne l'as jamais abandonné. Maintenant que leur entreprise a retrouvé son équilibre, non seulement il t'a larguée, mais aussi il a essayé d'envoyer ton père en prison ! Ton père est maintenant au centre de détention à cause de ce garçon ingrat ! » Après une courte pause, Rena a dit à voix basse : « Laisse-moi parler à Harold. » Même si Rena et Harold avaient rompu, ils étaient ensemble depuis longtemps. Rena pensait qu'Harold ne serait pas aussi impitoyable. Elle a donc composé le numéro de téléphone d'Harold. Rapidement, l'appel a été connecté. Rena a supplié : « Harold, nous nous sommes déjà séparés. S'il te plaît, ne déverse pas ta colère sur mon père. » Mais Harold s'est contenté de ricaner froidement. « Quelqu'un doit être tenu pour responsable des pertes. » Avant que Rena ne puisse demander de la pitié, Harold a repris la parole. « Il y a en fait une autre façon de régler ceci... Si tu acceptes d'être ma maîtresse pendant cinq ans, je laisserai ton père partir. » Rena a tremblé de colère. « Harold, tu me dégoûtes ! » Harold a répondu d'un ton enjoué : « Tu as toujours su quel genre de personne je suis, n'est-ce pas ? » Rena a serré les dents et a craché : « Je refuse ! Pas question ! » Harold s'en est moqué. « Alors tu ferais mieux d'engager un bon avocat pour ton père. Après tout, une telle somme d'argent le mettra derrière les barreaux pour au moins une décennie. » Rena a répliqué : « J'engagerai le meilleur avocat du pays ! » « Veux-tu dire Waylen ? », a demandé Harold avec un petit rire suffisant. « As-tu oublié que c'est mon futur beau-frère ? Penses-tu qu'il t'aidera vraiment pour le procès ? » Rena a serré les poings si fort que ses jointures sont devenues blanches. Elle n'a trouvé aucun mot pour réfuter. Harold a souri et a ajouté : « Rena, j'attendrai que tu me supplies de te reprendre ! » Rena a raccroché brusquement le téléphone, trop furieuse pour continuer à écouter les propos de cet homme. Ayant entendu leur conversation, Eloise a maugréé : « Ne t'inquiète pas, Rena. Nous ne le laisserons jamais te faire du mal ! » Des larmes de colère ont coulé sur les joues d'Eloise. « Mais Harold a raison. M. Fowler est son futur beau-frère. Pourquoi nous aiderait-il ? Rena, il doit y avoir une solution... » Rena a baissé la tête. Au bout d'un moment, elle a dit à voix basse : « J'ai rencontré M. Fowler une fois. Je vais tenter de le convaincre. » Eloise l'a regardée avec incrédulité. C'était une femme particulièrement perspicace. Alors seulement, Eloise a remarqué que le manteau de l'homme drapé autour des épaules de Rena, elle a deviné ce qui s'était passé. Mais elle était réticente à interroger Rena à ce sujet. Il était difficile pour Rena de retrouver Waylen. Dans le hall du cabinet d'avocats Sterling, la réceptionniste a poliment rejeté la demande de Rena. « J'ai bien peur de ne pas pouvoir vous laisser monter sans rendez-vous, madame. » Rena s'est pincé les lèvres, regrettant de ne pas avoir pris la carte de visite de l'homme hier soir. « Si je prends rendez-vous maintenant, quand pourrai-je le voir ? », a-t-elle demandé anxieusement. La réceptionniste a vérifié et a répondu : « Dans un demi-mois. » Le cœur de Rena s'est effondré. À ce moment-là, les portes de l'ascenseur se sont ouvertes et un homme et une femme en sont sortis. L'homme n'était autre que Waylen ! Il portait un costume noir sur mesure, ressemblant au top premier de la société. En revanche, Rena ne connaissait pas la femme. Elle avait l'air d'avoir une trentaine d'années et était très belle. Les yeux de Waylen ont croisé ceux de Rena, mais il a fait comme s'il ne la connaissait pas et a raccompagné la cliente jusqu'à la porte. Waylen a serré la main de la femme et lui a dit au revoir. La femme a dit avec coquetterie : « Si vous n'aviez pas été là, M. Fowler, je n'aurais pas obtenu un centime de mon ex-mari ! Vous n'imaginez pas à quel point il a été avare avec moi après avoir eu sa maîtresse... » Waylen a esquissé un léger sourire. « Ça fait partie du boulot. » La femme l'a ensuite dévisagé et lui a demandé : « M. Fowler, aimeriez-vous prendre un café avec moi ? » Rena a regardé la belle femme et s'est dit qu'aucun homme ordinaire ne pourrait la repousser. Mais Waylen a fait exception. Il a jeté un coup d'œil à sa montre et a poliment refusé. « Je crains d'avoir un rendez-vous plus tard. » La femme savait que Waylen ne s'intéressait pas à elle, mais a eu la politesse de ne pas le dire franchement. Après lui avoir dit au revoir, la femme est montée dans sa voiture et s'en est allée. Une fois la femme partie, Waylen s'est rendu directement à la réception et a demandé à Rena : « As-tu changé d'avis ? » Chapitre 3 Quel hypocrite ! Visiblement, Rena s'est raidie. D'une manière maladroite, elle a brandi un sac en papier et a expliqué : « Je suis venue te rendre ton manteau. » Waylen a acquiescé et a pris le sac. « Merci. » Sans rien ajouter, il s'est dirigé vers l'ascenseur. Rena est sortie de sa transe et s'est dépêchée de le rattraper. « M. Fowler, il y a quelque chose que je... » Les portes de l'ascenseur se sont ouvertes dès que Waylen a appuyé sur le bouton. Sans hésiter, Rena l'a suivi à l'intérieur. Voyant cela, Waylen l'a regardée d'un œil inquisiteur. Ensuite, il a lissé sa chemise et a dit avec indifférence : « Je ne m'occuperai pas de ton affaire. » Rena s'est tue. On dirait que Waylen était déjà au courant de l'affaire concernant son père ! Rena a baissé la tête et a demandé doucement : « Harold t'a-t-il demandé de ne pas t'occuper de mon affaire ? » Waylen l'a regardée dans le miroir et a souri. « Je n'aime pas mélanger mes affaires privées avec le travail. » Rena a compris ce qu'il voulait dire. Si elle venait le voir pour quelque chose en rapport avec le travail, elle pouvait tout simplement l'oublier. Les oreilles de Rena ont rougi sous l'effet de l'embarras. Mais Waylen ne l'a pas forcée à faire quoi que ce soit. L'ascenseur s'est finalement arrêté au vingt-huitième étage. La secrétaire de Waylen attendait à la porte de l'ascenseur. Elle était surprise de voir Rena avec lui, mais comme elle travaillait depuis des années pour cet homme, elle savait qu'il ne fallait rien dire. « M. Fowler, votre client est arrivé », a-t-elle dit poliment. Waylen a lancé le sac en papier à sa secrétaire et a dit : « Envoie-le au pressing. » La secrétaire a acquiescé et est partie. Waylen a baissé la tête et s'est mis à manipuler son téléphone. Sans lever les yeux, il a dit à Rena : « Trouve un autre avocat. » Ensuite, Waylen a quitté l'ascenseur juste avant que les portes ne se referment. Rena a serré les dents. Quel hypocrite ! À la maison, Eloise était de plus en plus anxieuse. Rena était très stressée et a décidé de rencontrer sa camarade de classe, Vera Byrd. Vera s'était mariée avec un homme riche de Duefron juste après avoir obtenu son diplôme. Ce mari disposait d'un large éventail de contacts. Rena, qui n'avait nulle part où aller, a demandé de l'aide à Vera. Elles se sont retrouvées dans un café et Rena n'a pas perdu de temps pour raconter à son amie tout ce qui s'était passé. Vera a maudit Harold avec véhémence. Après avoir déversé sa colère, elle a réfléchi un moment et a demandé : « As-tu vraiment failli passer un moment avec Waylen ? » Rena a rougi et a remué son café avec raideur. Vera a baissé le ton et l'a taquinée : « Rena, tu es vraiment quelqu'un d'exceptionnel ! Même les stars n'arrivent pas à attirer l'attention de Waylen. Il y a rarement des ragots sur lui parce qu'il est tellement "chaste". » Rena a souri avec amertume et a changé de sujet. « Quoi qu'il en soit, je n'ai pas eu d'autre choix que de me tourner vers toi, Vera. » Waylen détenait un grand pouvoir et un grand prestige dans les hautes sphères de la société. Vera pourrait facilement s'attirer les ennuis si elle osait aider Rena. Mais Vera était l'amie loyale de Rena. Grâce à ses relations, elle a rapidement trouvé l'emploi du temps de Waylen. Le samedi, Waylen avait rendez-vous avec un joueur de golf à un club rural à trois heures de l'après-midi. Rena s'y est rendue avec Vera et son mari à l'heure convenue. Contre toute attente, Harold était également présent. Rena était stupéfaite de la tournure que prenaient les événements. Vera a pincé le bras de son mari et s'est écriée : « Pourquoi ne nous as-tu pas dit qu'Harold serait aussi là ? Comment Rena peut-elle demander de l'aide à Waylen maintenant ? » Le mari de Vera a présenté ses excuses. « Je suis désolé, Rena ! Je ne savais pas, je le jure ! » Avant que Rena ne puisse reculer, Waylen les a aperçus. Waylen, riche et beau, était habillé d'une tenue de golf blanche. Il avait une grande taille qui le distinguait de tous les autres. Comme au cabinet d'avocats, Waylen a fait semblant de ne pas reconnaître Rena et n'a salué que le mari de Vera. Celui-ci, flatté, lui a rendu son sourire. Ensuite, Waylen a jeté un coup d'œil à Rena. Rena avait une peau lisse et souple. Elle avait délibérément enfilé des vêtements qui mettaient en valeur son physique. Le tee-shirt blanc moulant lui donnait un air énergique, tandis que le short gris clair faisait ressortir ses longues jambes parfaites. Ses cheveux bruns, longs et ondulés, étaient attachés en chignon, ce qui renforçait son charme. Waylen a jeté un coup d'œil à Rena, puis a demandé avec désinvolture : « Et vous êtes... ? » Chapitre 4 Concentrez-vous, Mme Gordon ! Waylen a fait comme s'il ne connaissait pas Rena. Le mari de Vera était plutôt avisé et n'a pas dévoilé son mensonge. « M. Fowler, voici une camarade de classe de Vera, Mme Rena Gordon. Elle est professeur de piano. » Waylen a souri d'un air entendu. « Enchanté, Mme Gordon ! » En disant, il a tendu la main, comme un vrai gentleman. Autour d'eux, les autres hommes d'élite les regardaient avec curiosité. Constatant que la jolie Rena était là pour Waylen, ils étaient très jaloux. Quelqu'un a même commenté : « M. Fowler, tu as de la chance. » Rena était un peu inexpérimentée et n'a jamais été confrontée à cette situation. Elle ne pouvait s'empêcher de rougir et de tendre timidement sa petite main. La grande main de Waylen a serré la sienne. Ensuite, Waylen l'a lâchée et lui a dit avec un sourire charmeur : « Mme Gordon, aimeriez-vous jouer une partie de golf avec moi ? » Sans attendre de réponse, Waylen s'est retourné et a commencé à marcher vers le terrain, comme s'il n'allait pas la laisser refuser. Rena n'a pas eu d'autre choix que de le suivre. Derrière Rena, on pouvait voir Harold tenir le club et les regarder avec un visage sombre. Waylen était de bonne humeur aujourd'hui. Raison pour laquelle il n'était pas du tout impatient, même si Rena disait qu'elle ne savait pas jouer au golf. « Ne t'en fais pas. je t'apprendrai ! » Dès que Waylen a dit cela, tout le monde a compris ce qu'il voulait vraiment, même la naïve Rena. Waylen essayait délibérément de se rapprocher d'elle, ce qui signifiait qu'il n'aimait pas Harold et qu'il voulait le contrarier ! Rena portait un short qui dévoilait ses longues jambes. Au fur et à mesure qu'il se rapprochait d'elle, elle pouvait sentir la chaleur qui émanait du corps de Waylen. Rena n'a pas pu s'empêcher de rougir. « Concentrez-vous, Mme Gordon ! », lui a chuchoté Waylen à l'oreille. Rena s'est figée. Waylen lui a tenu les mains, qui tenaient le club. Il lui a ensuite guidé les bras pour qu'elle fasse un swing parfait. Dès que la balle a été envoyée au loin, les gens autour d'eux ont applaudi à tout rompre. Tout le monde était impatient de flatter Waylen. « M. Fowler et Mme Gordon travaillent bien ensemble ! » « Oui, M. Fowler lui a très bien enseigné. » « Encore un coup, M. Fowler ! » Waylen était habitué à entendre les gens lui parler ainsi. Mais ce n'était pas le cas pour Rena. Elle a rougi furieusement. Waylen lui a soufflé à l'oreille. « Mme Gordon, pouvons-nous frapper une autre balle ? » Waylen était très doué pour le golf. Au deuxième coup, il a réussi à faire un trou d'un coup. Ceux qui les entouraient ont à nouveau applaudi à tout rompre. Waylen les a remerciés d'un signe de la main. L'homme avait l'air si beau et si énergique que le cœur de Rena s'est mis à battre la chamade. Ce jour-là, elle était venue là pour essayer de convaincre Waylen, mais en fin de compte, la situation s'était inversée. Rena savait que si Waylen voulait une femme, la plupart d'entre elles ne résisteraient pas à son charme. Seulement qu'un homme de son rang ne s'abaisserait pas facilement. Toujours tenant Rena par derrière, Waylen l'a aidée à frapper d'autres coups. Pendant la pause, Rena s'est assise à côté de Waylen. Celui-ci n'était pas très bavard. La plupart du temps, il parlait du business avec d'autres personnes, et parfois d'affaires juridiques, mais il ne parlait presque pas avec elle. Se mordant la lèvre, Rena a réfléchi à un moyen de s'attirer ses faveurs. Rena a tendu à Waylen une bouteille de boisson et une serviette neuve. Elle s'occupait de lui comme une servante loyale. Naturellement, Waylen a accepté. Vera a cru que c'était l'occasion ou jamais. Elle a conduit Rena dans les toilettes pour avoir une discussion entre filles. « Je ne m'attendais pas à ce que M. Fowler soit aussi un dragueur ! Je l'ai déjà vu plusieurs fois à des soirées, et il a toujours été très sérieux. » Vera ne voulait pas que Rena tombe pour de vrai amoureuse de Waylen, car elle doutait qu'il l'épouse. Harold était le futur beau-frère de Waylen, après tout. Rena l'a rassurée doucement : « Je veux juste le supplier pour qu'il m'aide. Je ne suis pas si naïve, Vera. » Vera a soupiré de soulagement. Au moment où elles s'apprêtaient à quitter les toilettes, la porte a été soudainement ouverte d'un coup de pied. Harold est entré à grands pas. Sans laisser le temps aux filles de réagir, il a brusquement poussé Rena contre le mur. Vera a entrepris de l'éloigner de son amie avec anxiété. « Harold, qu'est-ce que tu fais ? » Toutefois, Harold était beaucoup plus fort qu'elle. Sans grand effort, il a poussé Vera hors des toilettes. La seconde d'après, la porte a été verrouillée de l'intérieur. Vera a frappé la porte avec force et a grondé : « Harold ! Ouvre la porte ! Ne t'avise pas de lui faire du mal ! » Harold s'en moquait éperdument. Chapitre 5 Une relation de 4 ans Rena, une femme de petite taille, ne faisait pas le poids face à Harold, même si elle se débattait avec acharnement. Harold a ricané. « Tu es venu pour Waylen, c’est ça ? Qu'est-ce qui te fait croire que tu es capable d'y parvenir ? Tout le monde sait qu'il ne se laisse pas facilement entraîner par les femmes. » Rena a serré les dents et a maudit intérieurement l'homme en face d'elle. Elle a baissé les yeux et a dit froidement : « Ce ne sont pas tes affaires. » Harold l'a regardée de haut et a ricané d'un air incrédule. « Tu as délibérément abordé Waylen devant moi. Crois-tu que je m'en soucie ? » Cet homme dégoûtait tellement Rena. Elle l'a regardé avec un dédain non masqué et a craché : « Harold, si tu n'avais pas piégé mon père, je ne me serais pas du tout intéressée à la personne que tu vais épouser ! Ne te flatte pas ! » Harold l'a fixée sans mot dire. Rena s'est forcée à le regarder dans les yeux. Elle ne voulait pas se montrer faible devant lui. Après un long moment, Harold a gloussé avec moquerie. « Rena, tu accepteras ma proposition d'une manière ou d'une autre ! Tu n'as qu'à attendre ! » Ensuite, il a ouvert la porte et est parti en claquant la porte derrière lui. Aussitôt qu'Harold est parti, Rena a eu les jambes lourdes et a appuyé la tête contre le mur pour se soutenir, les larmes coulant lentement le long de ses joues. Quel homme cruel ! Pendant les quatre dernières années, Rena avait fait beaucoup pour Harold, mais il n'avait fait que la trahir ! Elle venait seulement de se rendre compte qu'Harold jouait avec ses sentiments depuis le début. Il n'avait jamais voulu l'épouser ! En pensant à cela, Rena a pleuré amèrement. « Rena ? » La voix de Vera l'a ramenée à la raison. Rena s'est essuyé les larmes et a levé les yeux. Elle s'est figée sur place devant le spectacle qui s'offrait à elle. Sur le seuil de la porte se tenaient non seulement Vera et son mari, mais aussi Waylen. Celui-ci s'était changé et portait maintenant une chemise bleu foncé et un pantalon de costume gris. Vera était inquiète pour Rena, mais elle s'est abstenue de parler d'Harold. Elle a vite trouvé une solution et a dit : « Il s'est mis à pleuvoir tout d'un coup, alors jouons au golf une autre fois, d'accord ? » Son mari a compris et a répondu : « Bonne idée ! Jouons au golf une autre fois. M. Fowler, pouvez-vous raccompagner Rena ? Vera et moi avons quelque chose à faire juste après. » Waylen a jeté un bref coup d'œil aux yeux rouges et larmoyants de Rena. Au bout d'un moment, il a acquiescé. « Bien sûr. » Vera a soupiré de soulagement, mais en même temps, elle s'est sentie un peu mal pour Rena. Le vent soufflait fort, et la pluie ne semblait pas vouloir cesser. En revanche, le tonnerre et les éclairs étaient sans pitié. Le parking étant à ciel ouvert, Waylen est allé chercher sa voiture. Au bout d'un moment, une Bentley Continental GT dorée s'est arrêtée devant Rena. Elle n'avait pas de parapluie, mais elle n'a donc pas osé demander à Waylen de sortir de la voiture pour lui tenir un parapluie. Elle s'est empressée de monter dans la voiture, la pluie tombant sans relâche. Bien qu'elle ait fait aussi vite que possible, elle était trempée avant d'avoir bouclé sa ceinture de sécurité. L'eau dégoulinant de ses cheveux, elle était un peu mal à l'aise, craignant que Waylen ne soit pas content d'elle. Mais l'homme n'a fait que lui jeter un coup d'œil. Sans dire un mot, il a démarré la voiture. Le club était à mi-hauteur de la montagne. Le trajet jusqu'au pied de la montagne prendrait un certain temps, et le climatiseur de la voiture était enclenché. Rena n'a pas tardé à trembler de froid et ses lèvres sont devenues pâles et bleues. En attendant que le feu passe au vert, Waylen lui a tendu un manteau et lui a dit : « Tiens. » Rena l'a remercié d'un signe de tête. Dès que Rena a enfilé le manteau, elle a soupiré de soulagement à cause de la chaleur que cela lui procurait. Mais Waylen n'a pas éteint le climatiseur. Il était trop concentré sur la route à suivre. C'était un jour d'orage, et la circulation était dense en ville. Waylen a allumé une cigarette et en a tiré une longue bouffée, avant de demander nonchalamment : « Pendant combien de temps étais-tu avec Harold ? » Rena s'est raidie à cette question. Mais elle n'avait aucune raison d'être malhonnête. « Pendant quatre ans. » Waylen était un peu surpris. &8&	LEARN_MORE	https://fbweb.kifflire.com/14431410-fb_contact-frj	Lime novel	https://www.facebook.com/100090847180115/	958	1969-12-31 18:00	Learn more	fbweb.kifflire.com	IMAGE		https://fbweb.kifflire.com/14431410-fb_contact-frj36_1-241102-core1.html?adid={{ad.id}}&char=124213&accid=1873316979751191&rawadid=120213524022090736	1969-12-31 18:00	https://scontent-iad3-1.xx.fbcdn.net/v/t39.35426-6/465614877_567979222381188_7361908354016053037_n.jpg?stp=dst-jpg_s60x60_tt6&_nc_cat=107&ccb=1-7&_nc_sid=c53f8f&_nc_ohc=8Zbar78E0isQ7kNvgHdQKjN&_nc_zt=14&_nc_ht=scontent-iad3-1.xx&_nc_gid=AaFyrDwCDUMgl3PnnbL195s&oh=00_AYACUwCc8_c8iIYDbco07HrAdzoU9I_PgHsuc4O6uIWuwA&oe=67543935	PERSON_PROFILE	0	Lime novel	1969-12-31 18:00	View Edit Delete
2,573,029	/src/Template/Ads/index.ctp (line 281) null	No	2024-12-02 20:12	active	1952	Timelessly-Deisgned Watches	Vstelle Watch and our stunning V-Apostle Black were hand-selected by GQ Magazine, named "The Perfect Timing" and featured in British Vogue as the best accessories you need now💠 Shop now and get the Cyber Monday Deals!	SHOP_NOW	https://vstellewatch.com/	Vstelle Watch	https://www.facebook.com/vstellewatch/	2,348	1969-12-31 18:00	Shop Now	vstellewatch.com	DCO	Up to 35% Off	https://vstellewatch.com/	1969-12-31 18:00	https://scontent-iad3-1.xx.fbcdn.net/v/t39.35426-6/469019744_1282735829414013_757658149668064925_n.jpg?stp=dst-jpg_s60x60&_nc_cat=104&ccb=1-7&_nc_sid=c53f8f&_nc_ohc=3KOUvsA5CaUQ7kNvgGwPQ6K&_nc_zt=14&_nc_ht=scontent-iad3-1.xx&_nc_gid=AaZn8C2etcRuh3Y0UqyZk7O&oh=00_AYCuPHmSSy4TD_S0BCsiUccGNuJwGyNc1jghzBX-LJtvWg&oe=675421B9	PERSON_PROFILE	0	Vstelle Watch	1969-12-31 18:00	View Edit Delete
2,572,610	/src/Template/Ads/index.ctp (line 281) null	No	2024-12-02 20:12	active	1952		En medio de la ruina económica de su familia, ella renunció a su preciado violín y se convirtió en la dócil mascota de su esposo, solo para encontrarse con el desprecio de este. Afortunadamente, ella por fin despertó, se divorció con valentía y reinició su carrera musical, alcanzando un gran éxito y provocando el remordimiento de su ex. ===== Joelle Miller examinó minuciosamente el feed de Twitter de Rebecca Lloyd, estudiando con mucha atención cada video, ansiosa por ver el rostro del novio de Rebecca. Rebecca, la protagonista de los videos, irradiaba ternura y delicadeza con su sencillo vestido blanco. Si bien no era tan bella, tenía una genuina sencillez y una sonrisa encantadora. Había descubierto que, en los días importantes, Nochebuena, San Valentín e incluso el cumpleaños de Joelle, Rebecca estaba con Adrian Miller, su supuesto esposo, quien se había ausentado de todos esos días durante los últimos tres años. Esas alegres narraciones sobre su vida con su novio fueron más que suficientes para hundirla en la tristeza. "¿Lo ven? Él siempre guarda para mí la parte más jugosa de una sandía". "Incluso cuando llega tarde a casa, siempre me trae algo". "¡Y miren esta sorpresa! Recogió de la iglesia un amuleto de bendición para mí". ...... El nombre de usuario era "Cuenta Regresiva Hacia la Muerte", la única cuenta a la que Joelle seguía. Justo cuando reflexionaba sobre el siniestro nombre, la puerta del baño se abrió. En la habitación poco iluminada apareció Adrian. Gotas de agua caían de su cabello. A pesar de la tenue iluminación, sus atractivos rasgos permanecían intactos. Joelle cerró instintivamente su celular y le dio una mirada reflexiva. Hacía mucho tiempo desde la última vez que lo vio. Esa noche él no estaba ahí por decisión propia. Su abuela, Irene Miller, estaba enferma y, como quería un bisnieto con desesperación, lo obligó a regresar. De lo contrario, tal vez nunca hubiera venido. Durante sus tres años de matrimonio, Adrian pasaba la mayor parte del tiempo en Villas Oak, por lo que rara vez estaba en casa. Todos sabían que en realidad no amaba a Joelle. Estaba atrapada en un matrimonio por conveniencia. "Solo te voy a dar una oportunidad. El destino dirá si quedas earazada o no", declaró Adrian con una voz resonante. ¿Qué quería decir? Antes de que Joelle pudiera seguir pensando, Adrian la agarró del tobillo y la atrajo hacia él. Joelle palideció ante su crueldad, su cuerpo se tensó de miedo. "¡Adrian! Basta, no quiero...". Empezó a luchar frenéticamente. Era una completa humillación verse obligada a vivir en esa situación con el hombre que amaba. Adrian hizo una mueca de desprecio. "Te atreviste a diseño una vez, así que debiste haberlo visto venir. Solo aguántalo". Ante esas duras palabras, los ojos de Joelle se llenaron de lágrimas y sus pestañas bailaron como mariposas heridas. Mirando su rostro severo, dijo con voz temblorosa: "Las cosas no fueron lo que imaginabas..." Pero sus protestas fueron interrumpidas. Su resistencia se desvaneció a medida que la desesperación se apoderaba de ella. "Has aprendido que hacerte la difícil es mucho más interesante que quedarse tirada como un pez muerto", comentó con rencor. Después de ducharse, se marchó sin mirar atrás, como si no quisiera quedarse más tiempo ahí. Joelle no entendía qué papel tenía en su vida. ¿Solo era un juguete para su placer? ¿O una herramienta para cumplir las expectativas de su familia de tener un heredero? La ventana estaba completamente abierta, por lo que entraba un gélido y cortante viento. A Joelle se le erizaron los pelos de la nuca y se arropó más con su manta. No solo temblaba de frío, sino que sentía su corazón desgarrado, ahora no conocía en absoluto al hombre que había adorado durante casi ocho años. Tres años atrás, en un lujoso banquete organizado por la familia Miller, Joelle bebió demasiado. Cuando se despertó, en la con Adrian. Antes de que pudiera asimilar lo que estaba pasando, su hermano y varios miembros de su familia irrumpieron. Ya no podía revertir lo sucedido. La abuela de Adrian tomó las riendas y organizó su matrimonio. Desde entonces, él estaba convencido de que Joelle lo había hecho a propósito. A ella le desconcertaba su profunda animosidad, por más que creyera que lo había dgado. Después de todo, habían crecido juntos. Pero ahora lo entendía todo. Para él, ella no era más que la nefasta mujer que había saboteado su relación con Rebecca. A menudo pensaba en lo perfecto que él se veía en los videos de Rebecca, siempre tan gentil y atento. Probablemente nunca le mostraría esa misma ternura. No pudo contener más las lágrimas y sucumbió a un ataque de sollozos. Esa noche no pudo dormir bien. Tuvo sueños sobre el pasado, cuando ella y Adrian no estaban en malos términos. Debido a su angustia, Joelle se levantó inusualmente temprano. Después de lavarse, se puso ropa de casa y bajó las escaleras. Leah Jenkins, la empleada doméstica con muchos años de servicio, la vio bajar y rápidamente puso la mesa con el desayuno, ya que conocía sus preferencias dietéticas. Joelle se tomó su tiempo para comer lentamente. "Señora Miller, ¿por qué anoche no convenció a su esposo para que se quedara? No viene a casa a menudo", comentó Leah con simpatía. Había sido sirvienta de la familia Miller durante muchos años, por lo que había visto cómo los dos se convertían de amigos de la infancia a enemigos. Joelle se mostró incómoda, pero lo ocultó con una sonrisa serena. "Lo intenté, pero no quiso quedarse". Incluso si pudiera mantener a Adrian cerca, él tenía el corazón en otra parte. Más concretamente, en Villas Oak, el hogar de la mujer que realmente amaba. Leah dudó y agregó con cautela: "Tal vez sea porque el señor Miller está muy ocupado con la empresa. Dirigir una compañía tan grande requiere mucho tiempo". Tres años atrás, le habían reasignado para cuidar de Joelle, así que entendía los entresijos de ese matrimonio mejor que nadie. Su perspicacia trajo consigo una sincera simpatía hacia ella. Las pestañas de Joelle temblaron mientras mordisqueaba su tostada. Sus ojos se llenaron de lágrimas debido a la tensión emocional. Sí, Adrian estaba muy ocupado, pero siempre tenía tiempo para Rebecca. Frecuentaba la Iglesia Redención en busca de un amuleto de bendición para ella. A pesar de su apretada agenda, siempre pasaba las vacaciones con ella. De repente, su celular rompió el silencio. Cuando Leah salió del comedor, Joelle agarró el dispositivo y vio que era una llamada de su mejor amiga, Katherine Nash. "Katherine, quiero el divorcio", confesó con voz ronca. Capítulo 2 En declive Joelle había tomado una decisión: quería el divorcio. No tenía sentido seguir alargándolo. Tras un silencio atónito, Katherine soltó una estridente carcajada. "¿Te quedarás con la mitad de los bienes de Adrian? ¡Oh, por Dios! ¡Joelle, te convertirás en una multimillonaria!". "No, no será así". Joelle había firmado un acuerdo cuando se casó con Adrian. Si se divorciaban, ella no recibiría nada. "Entonces, ¿por qué te estás divorciando? ¡Tienes que seguir siendo su esposa!". Joelle recordó la brutalidad de Adrian la noche anterior, así como la humillación posterior. Había sido muy ingenua al creer que su amor por él la ayudaría a soportar cualquier dificultad. Pero ahora sabía que había sido una completa tonta. ¿El sufrimiento hacía que Adrian la amara más? Claro que no. Para empezar, un hombre que realmente la amara nunca le haría sufrir. Joelle se rio de sí misma y cambió de tema: "Por cierto, ¿recuerdas el favor que te pedí?". "Sí, justo te iba a contar eso. Me pediste que estuviera atenta a un trabajo, y tengo algo para ti. Vas a enseñar a un estudiante a tocar el violín, aunque debo decir que será un desperdicio de tu talento". "Está bien", respondió Joelle con una leve sonrisa. "No será un desperdicio en absoluto. Llevo tres años siendo ama de casa. Es suficiente con que alguien quiera contratarme". "¿Cómo que no será un desperdicio? Casi formaste parte de una orquesta internacional. Si no fuera por el matrimonio…". Katherine se quedó en silencio, demasiado indignada por su amiga. Después de su boda, a Joelle ni siquiera le permitieron trabajar. Las familias adineradas se aferraban a esas reglas obsoletas. Era bastante ridículo. Hacía tres años, la carrera de Joelle como violinista despegaba. Pero las estrictas tradiciones de la familia Miller le prohibían tocar en público. El primer día de su matrimonio, la madre de Adrian le dijo: "No tienes que trabajar. Adrian te proveerá en todo lo que necesites. Tu único trabajo es tener bebés y cuidar a tu esposo". Una vez que terminó su llamada con Katherine, Joelle subió las escaleras y fue al estudio para agarrar su violín abandonado. Había sido un regalo especial de su padre en su decimoctavo cumpleaños. No obstante, poco después de recibirlo, este sufrió un derrame cerebral y cayó en coma. Su hermano mayor terminó asumiendo la responsabilidad de sustentar a la familia, así que la dejó perseguir su sueño de tocar el violín. Mientras recordaba el pasado, Joelle movió el arco sobre las cuerdas. Años atrás, un accidente le había lesionado la muñeca y desde entonces no había vuelto a tocar. A pesar del dolor agudo que sentía en esa zona mientras tocaba, no se detuvo y confió en su memoria muscular para tocar una pieza corta. Al final, soltó una risa amarga. Sonaba horrible. De repente, escuchó la alegre voz de Leah en la puerta. "¡Señor, ha regresado!". Estaba secretamente aliviada de ver a Adrian, ya que eso tal vez significaba que todavía se preocupaba por Joelle. Quizás si ella le decía algo amable, su relación podría mejorar. Por su parte, Joelle estaba sorprendida. Adrian rara vez venía a casa durante el día. Apenas había dejado el violín cuando se abrió la puerta. Ahí estaba la alta e imponente figura de su esposo. Sus ojos la recorrieron con el ceño fruncido. Recordaba que Joelle había aprendido a tocar el violín cuando era niña y que un reconocido profesor la había elogiado por su talento. Sin embargo, por alguna razón, había dejado de tocar. Hacía un momento, la había escuchado desde afuera y le pareció una interpretación mediocre. ¿Cómo era posible que la elogiara por su talento? Joelle lo miró y bajó la cabeza para volver a guardar el violín en su estuche. "¿Qué te trae por aquí?", murmuró. "¿Necesitas algo?". "Vine a recoger algo y recordarte que mañana tenemos que visitar a la abuela", respondió él fríamente. Era una regla familia visitar a su abuela al menos una vez al mes, y mañana era el día. De no ser por esa obligación, Adrian no habría regresado. Irene se enfadaría si no iban juntos. Joelle sonrió con amargura. Recordaba las normas de los Miller mejor que Adrian y siempre las cumplía. Ni siquiera Irene, tan estricta como siempre, podía encontrarle defectos. "No lo he olvidado, me alegra que tú tampoco lo hayas hecho", respondió. Su tono acusatorio hizo que Adrian pusiera una mueca. Una ira latente empezó a hervir dentro de él. Sin decir nada más, se dirigió al vestidor para buscar algo. Aunque él no solía estar en casa, Joelle aseaba meticulosamente su guardarropa, por lo que tenía la ropa lavada, planchada y ordenada. Era como si su papel se redujera a realizar las tareas del hogar, algo que Leah también podía hacer. Su única ventaja, tal vez, era ser más joven y más guapa que Leah. Sus ojos siguieron los movimientos de Adrian. Tenía el dedo anular desnudo, sin el anillo de bodas. Una punzada de dolor le atravesó el corazón. "Adrian, hay que divorciarnos", declaró con una voz tan suave como la brisa. Había agotado todas sus fuerzas al pronunciar esas palabras, pero se sintió extrañamente aliviada. Adrian se dio la vuelta y la miró con una sonrisa burlona. "Tienes que pensar muy bien antes de hablar. La familia Watson está en declive. Sin mi apoyo, ¿vas a dormir en la calle con tu hermano?". Desde la caída de la familia Watson, Joelle pasó de ser amada a quedar en ridículo. La familia Miller la despreciaba y la miraba por encima del hombro, como si ella y su hermano fueran sanguijuelas de las que no podían librarse. Incluso sus momentos íntimos con Adrian la hacían sentir degradada. Joelle se mordió el labio y se enderezó. "Ya he alquilado un apartamento. Incluso si terminara durmiendo en la calle, es asunto mío". Solo quería que su esposo la respetara, pero tres años de cautiverio la habían dejado sin orgullo ni dignidad. "¿Y de dónde sacaste el dinero para alquilar un apartamento? Si tanto querías ser independiente, no deberías haber gastado ni un solo centavo de mi familia". De espaldas a ella, Adrian encontró entre unos muebles el anillo de bodas perdido y lo sostuvo en la palma de su mano. Joelle no se dio cuenta. Las palabras de ese hombre la dejaron sin aliento. Sí, había utilizado sus escasos ahorros para alquilar el apartamento. Pero como estaba casada con Adrian, ¿lo que era suyo no era también de él? Además, el apoyo financiero que Adrian les había dado a los Watson durante todos esos años ascendía a una suma significativa. Joelle siempre había despreciado la idea de deberle algo, pero su deuda con él era infinita. Si se divorciaban, tal vez dejaría de darle apoyo financiero a la familia Watson. ¿Estaba sugiriendo que ella debía salir del matrimonio con las manos vacías? Cuando Adrian se dio la vuelta para irse, Joelle dijo con una dignidad apenas intacta: "Tengo derecho legítimo a este matrimonio y a reclamar lo que supuestamente es mío. Pero no te preocupes, no pediré mucho, solo lo suficiente para ayudar al Grupo Watson a superar esta crisis". Adrian se quedó paralizado y su mirada se agudizó. Sus labios formaron una fina línea mientras apretaba la mandíbula. Eran claras señales de su creciente furia. Aunque Joelle ya se había preparado mentalmente, no podía soportar su intensidad. Cada segundo bajo su mirada severa la ponía más ansiosa. De repente, sonó el celular de Adrian, quien lo sacó de su bolsillo y estuvo a punto de alejarse. "¡Adrian!". Capítulo 3 Siempre mantendré la cabeza en alto La frustración de Adrian crepitaba como estática. "Si tu hermano necesita dinero, dile que vaya al Grupo Miller". "¡No se trata de eso!", replicó Joelle. La había malinterpretado por completo. Con el corazón latiendo con urgencia, corrió tras él. "¡Adrian, quiero el divorcio!". Adrian dejó de subir las escaleras y giró la cabeza. El celular en su mano había dejado de sonar. Con un metro noventa de altura, se alzaba sobre ella. "Joelle, ¿no se te ocurre un mejor juego que este interminable tira y afloja?", preguntó burlonamente con una mirada gélida. "Si de verdad quieres divorciarte, ¿por qué no se lo dices tú misma a la abuela? ¡No quiero volver a escucharte pronunciar esa palabra!". La puerta se cerró de golpe detrás de él, haciendo eco a su irrevocable decisión. Joelle se apoyó contra la pared y sus piernas cedieron hasta que se deslizó al suelo. Una risa amarga emergió de sus labios. Irene había organizado su matrimonio. Adrian se había visto obligado a aceptar, y Joelle lo sabía muy bien. Si de verdad quería el divorcio, lo más efectivo sería hablar con Irene. Sin embargo, una pequeña y estúpida parte de ella se había aferrado a la esperanza de que ella y Adrian eran una verdadera pareja. Por eso se lo había mencionado primero a él, porque lo veía como su esposo. Sin embargo, olvidó un detalle crucial: Adrian nunca había querido casarse con ella. Su reticencia había sido evidente desde el principio, aunque ella había intentado pasarla por alto. Sus últimas palabras no solo fueron despectivas, sino una orden. Si de verdad quería el divorcio, debería enfrentarse a Irene. Joelle se dio una ducha, se puso ropa limpia y se preparó para visitar a la anciana. Irene era estricta, autoritaria y temida por toda la familia. Gobernaba con puño de hierro y no toleraba la desobediencia. Pero Joelle tenía un vínculo muy especial con ella. En parte, había aceptado casarse con Adrian para cumplir las expectativas de Irene. Quería cuidar de Adrian, construir un hogar y asegurarse de que la anciana falleciera sin remordimientos. Pero ahora ya no aguantaba más. Ver a Adrian tan preocupado por otra mujer le llenaba de una amargura que parecía consumirla. Era consciente de que él no la amaba. ¡Nunca lo hizo y nunca lo haría! Estaba a punto de irse cuando sonó su celular. Era su hermano, Shawn Watson. "¿Shawn? ¿Qué ocurre?". "¡Señora Miller!". Era el asistente de Shawn. Su voz sonaba muy asustada, algo que Joelle nunca había escuchado. Se le heló la s*gre y agarró el celular con más fuerza mientras permanecía en la escalera. "¿Dónde está mi hermano? ¿Qué le pasó?". "Anoche el señor Watson asistió a una reunión de negocios, donde lo presionaron para que biera. Supuestamente volvería a casa, pero Erick Lloyd insistió en llevarlo a unas aguas termales". Joelle se quedó congelada y la furia recorrió sus venas. "¿Erick no sabía que eso podría matarlo?". "¡Erick es un svergüenza! Se jacta de su poder desde que su padre y su hermano se volvieron chóferes de la familia Miller. ¡Señora Miller, tiene que venir rápido! El señor Watson está siendo operado y los médicos han emitido dos avisos de condición crítica. ¡No pude aguantar más, así que la llamé!". El asistente parecía estar al borde de las lágrimas. Joelle sabía que él no se habría puesto en contacto con ella a menos que la situación fuera bastante desesperada. Shawn siempre la había protegido de las malas noticias, sin importar lo sombrías que fueran las circunstancias. Si su asistente estaba tan conmocionado, la vida de su hermano debía estar en peligro. Joelle sintió como si el mundo se cerrara a su alrededor y un nudo se formó en su garganta. Al bajar del último escalón, tropezó y se cayó con fuerza, torciéndose bruscamente el tobillo. El dolor abrasador la devolvió a la realidad y las lágrimas brotaron de sus ojos. "¡Oh, no, señora Miller, tenga más cuidado cuando camina!". Leah corrió a ayudarla a levantarse. Joelle agarró el brazo de Leah con la visión borrosa a causa de las lágrimas. Intentó hablar, pero las palabras le salían entrecortadas porque estaba sollozando. "Mi hermano... ¡Tengo que ir al hospital para verlo!". Leah sintió su urgencia y respondió sin dudar: "De acuerdo, no se preocupe. ¡Le pediré al conductor que la lleve de inmediato!". Leah era una criada experimentada y confiable que llevaba años al servicio de la familia Miller. Cinco minutos después, el auto ya estaba aparcado delante de la villa. Joelle estaba a punto de subir cuando se volvió hacia Leah. "Por favor, no se lo cuentes a Irene. No quiero preocuparla". El corazón de la criada se ablandó. Incluso con el rostro pálido y surcado de lágrimas, Joelle se preocupaba por la salud de Irene. ¡Qué muchacha tan rara y extraordinaria! "No se preocupe, señora Miller. Yo sé qué hacer. Vaya a ver a su hermano". Cuando Joelle llegó al hospital, Shawn acababa de salir del quirófano. Al ver a su jefe conectado a tubos y cables, el asistente casi se desplomó. Joelle se acercó y lo encontró arrodillado contra la pared, con los ojos hundidos e inyectados en sgre. Tuvo que contener el impulso de regañarlo por no haber protegido mejor a su hermano. Más tarde habría tiempo para eso. Cuando la condición de Shawn fue más estable, Joelle llevó al asistente a un lado. "Cuéntamelo todo. ¿Cómo ocurrió esto?". El asistente vaciló, con el rostro desencajado. "Señora Miller, el señor Watson nos ordenó específicamente que no la involucremos en los asuntos comerciales". "Pero esto es una cuestión de vida o muerte. ¿Piensas que todavía es una opción no decirme nada?". Ya sin paciencia, Joelle se dio la vuelta para alejarse. "Señora Miller, eso no sirve de nada", respondió el asistente desesperadamente. "Usted sabe que desde la muerte de su padre, el Grupo Watson ha dependido por completo de su hermano. Ha estado luchando para defender la dignidad de la familia, porque quiere que su vida con los Miller sea más llevadera". Durante esos años, Shawn había luchado valientemente para mantener a la familia a flote. No obstante, sin el apoyo financiero de Adrian, sus esfuerzos se habrían desvanecido hacía mucho tiempo. Su deseo más profundo era que su hermana viviera cómodamente, pero a pesar de sus incansables esfuerzos, nunca pudo hacerle ganar el respeto que merecía por parte de su esposo. No importaba lo mucho que se sacrificara, ella seguiría siendo infravalorada en la familia Miller. Joelle estaba hirviendo de rabia, pero sabía que no podía cambiar su realidad. Entonces, inspiró profundamente y preguntó: "¿No mencionaron mi relación con Adrian?" Esperaba que alinearse con los Miller pudiera ayudar a Shawn a mantenerse firme en sus actividades sociales. "El señor Watson se niega a tocar ese tema, pues teme que eso le haga las cosas más difíciles a usted". Joelle soltó una risa amarga. Jamás había estado en igualdad de condiciones con Adrian. No le extrañaba que la despreciara, ya que apenas podía soportarse a sí misma. Solo hacía una hora que le había pedido el divorcio. Y ahora se aferraba al nombre de su esposo, desesperada por facilitarle la vida a su hermano. "Dile a Shawn que soy la esposa de Adrian Miller, Irene me eligió personalmente. ¡Mientras sea la señora Miller, mantendré la cabeza en alto dentro de la familia!". De repente, escucharon unos pasos detrás de ella. Joelle se dio la vuelta y vio a Adrian, que tenía una sonrisa fría en su rostro. A su lado, se encontraba una muchacha de aspecto frágil, con grandes ojos inocentes, aferrada a él. Adrian la miraba desdeñosamente, como si incluso le costara reconocer su presencia. Ya se había dado cuenta de que ella realmente no quería el divorcio. La mujer que había parecido tan decidida a irse, ahora estaba haciendo alarde de su título como la señora Miller. Su amenaza de divorcio no había sido más que una estrategia, como una pelea de amantes que terminaba en amenazas vacías. Era tan astuta que lo había d*gado para obligarlo a casarse. Con tácticas tan engañosas, ¿cómo podría irse tan fácilmente? Su matrimonio eran un salvavidas para las dificultades de su familia. Adrian le daba cien millones cada año al Grupo Watson. Joelle sería una tonta si se arriesgaba a perderlo divorciándose de él. Capítulo 4 Por fin se dio cuenta Hacía mucho que Joelle se había vuelto insensible ante la indiferencia de Adrian. Observó sin decir nada los brazos entrelazados de la pareja y recordó los dulces momentos capturados en los videos de Rebecca, que provocaban la envidia de mucha gente. ¡Qué pareja tan perfecta! Ese pensamiento la golpeó. "¡Joelle, por favor, no nos malinterpretes!", dijo Rebecca con urgencia mientras retiraba su mano del brazo de Adrian. "No me siento bien y no puedo caminar, así que Adie simplemente tuvo la amabilidad de sostenerme". Joelle esbozó una leve sonrisa. "¿Qué te trae al hospital?", preguntó mirando a Adrian, como si no hubiera escuchado la explicación de Rebecca. "Es por Erick", dijo Rebecca, con las manos entrelazadas como una niña arrepentida. "También vine a pedirte perdón, Joelle. Lamento que Erick haya sido tan descuidado para provocar que tu hermano terminara en el hospital". "¿Descuidado?", replicó ella. "Tu hermano casi mta al mío, ¿y crees que una disculpa bastará para arreglarlo?". Rebecca se estremeció y agarró la manga de Adrian en busca de apoyo. "Ya es suficiente, Joelle", respondió él con una voz tan gélida como el invierno. "No fue a propósito". Luego, se volvió hacia Rebecca y agregó suavemente: "Vamos, ¿no viniste para ver a Erick?". Fue entonces cuando Joelle lo entendió todo. Había esperado ingenuamente que Adrian viniera para ver a Shawn. Pero no, había venido con Rebecca para ver a Erick. Incluso si visitara a Shawn, sería por obligación, nada más. Pero sabía que no debía esperar que él la defendiera. "¡Rebecca, no olvidaré lo que hizo Erick!", espetó. Rebecca dobló las piernas y se desplomó sobre el pecho de Adrian, quien la atrapó justo a tiempo y la abrazó con fuerza. "Joelle, Erick no tenía malas intenciones. ¡También está en el hospital!". "¿Ya está muerto? ¡Si no, tendrá que pagar por lo que hizo!". Joelle no solía arremeter, pero esta vez era diferente. Shawn era la única familia que le quedaba. Su padre, incapacitado por un derrame cerebral, se encontraba en estado vegetativo con poca o ninguna esperanza de recuperación, y su madre había fallecido en un accidente de tráfico. Desde los dieciocho años, habían sido solo ella y Shawn, enfrentándose juntos a las dificultades del mundo. En sus momentos más oscuros, Shawn llevó sola la carga para dejar que Joelle persiguiera su pasión por el violín. Ahora la idea de perderlo también a él era insoportable. Su único deseo era que Erick muriera. "Joelle, ¿cómo puedes decir eso?", sollozó Rebecca con incredulidad. Ya sin paciencia, Adrian fijó su fría mirada en Joelle. "¿Qué deseas?". "Shawn recibió dos avisos de condición crítica. ¿Qué hay de Erick?". Rebecca jadeó, su frágil cuerpo estaba temblando como una hoja en el viento. "¡Joelle, por favor! Solo me queda un hermano. ¡Por favor, ten compasión!". Se desmayó antes de que la otra mujer pudiera responder. Adrian la levantó en sus brazos y le dio una última mirada de reproche a Joelle. Luego, se alejó y la dejó clavada en el mismo lugar, incapaz de moverse o incluso de pensar, lo que pareció una eternidad. Antes de su matrimonio, había sido una chica adinerada, pero luego se convirtió en la sirvienta de Adrian. Ahora se daba cuenta de lo ingenua que había sido. Ella solía ser una persona muy orgullosa, pero ahora soporta todo tipo de agravios sólo para complacer a su marido. ¡Qué patético! Han pasado tres años, es hora de divorciarnos y comenzar una nueva vida... ...... ¿Qué sucederá en adelante? Los capítulos disponibles son limitados aquí, haga click el botón abajo para instalar APP y disfrutar leyendo más contenidos maravillosos. 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2,572,107	/src/Template/Ads/index.ctp (line 281) '{"alias":2572104}'	No	2024-12-02 20:12	active	1952	🔞Attention! Do not read in public！👉	I saw my boyfriend and my best friend lying together in our bed, naked. Tomorrow is my 18th birthday, and is this the “Big Surprise” they had planned for me? Two years together, and just one more day until I would finally find out if he was my fated mate... but now, everything felt like a cruel joke. "So-Sophia?" Bruce looked at me, stunned, as if seeing a ghost. "I am sorry. Please forgive me, baby." Bruce came close and held my hand. I felt disgusted when he touched me. I yanked my hand out of his grasp and slapped him. "How long?" I asked. He was silent. Why? Why was he so quiet right now? He promised me to be a loyal man. He vowed to me that he would mark me as his mate. But what exactly was he doing now? "I ASKED HOW LONG???" I yelled at him. He remained silent, not even making eye contact. I turned to Luisa. "You, tell me. How long have you been doing this behind my back with him?" I wanted to hear for myself how long they had made a fool out of me. "O-One year." She clutched the blanket around her body tightly, but the marks on her bare skin still stung me deeply. One year. For a year, they'd been lying, cheating, breaking me piece by piece without me even realizing it. Tears pricked at my eyes, but I refused to let them fall. Not now. Not in front of them. I took a deep breath, steadying myself. "WE ARE DONE." I said, the words cold and final. Then I ran, my vision blurring as my legs carried me down the hallway. I wasn’t sure where I was going, but I needed to get away from them. In my haste, I collided with a solid wall of muscle. I looked up, and for a moment, I was too stunned to move. It was Alpha Bryan—Bruce’s elder brother. Unlike Bruce, who was always calm and friendly, Bryan was known for his icy demeanor. The entire pack feared him! I let out a gasp, and my hand began to shake. "S-Sorry, B-Big Brother-in-law!" I said subconsciously, but soon I realized something was wrong, I had broken up with Bruce and shouldn't call him that anymore. "Brother-in-law? Is what I've heard correct, Bryan?” A woman stepped forward, positioning herself beside Bryan. She was stunning, with a beauty that could make anyone feel small in comparison. This had to be Bryan’s fiancée, our future Luna. After giving me an in-depth look from head to toe, she turned her attention to him. “Is she Bruce's girlf–” Bryan raised his hand to stop her from continuing to speak. His gaze moved to me, sharp and unreadable, and for a moment, I thought I saw something flicker in his eyes—but just as quickly, it vanished, replaced by his usual cold demeanor. “LEAVE." he ordered, his voice as icy as ever. The command left no room for argument. I flinched under the weight of his stare and fled the room, holding back the tears burning behind my eyes. As I passed the woman, her voice followed me like a dagger. "What's wrong with our Bruce? Does he really like that girl? I can't believe this. He has such a bad choice!" My steps faltered, but I didn’t look back. I did not want to stay a single second here. I did not come here to take any humiliation. ... A day later "I don't want to go, Mom" I said quietly, staring at the simple white dress I was supposed to wear. How could I go to that house? It was my ex-boyfriend's house. I did not want to see his face again. "You have to go. It's Alpha Bryan's engagement ceremony. Your name is clearly stated on the invitation card. You can't deny it, my child. It's a rule." I sighed, reluctantly pulling on the dress and applying light makeup. "You look so beautiful, Sophia." Mom said, her voice filled with a bittersweet pride. "Thanks, Mom." I gave her a hug then got into the car. As I stepped into the grand hall, the scent of flowers filled the air, their delicate petals cascading down the walls in elaborate displays of elegance and wealth. This place once felt like a symbol of beauty and grace to me, but now it was just a prison of painful memories. I found a quiet corner, hoping to avoid Bruce. I didn’t want to see him, especially not today. My eyes wandered across the room, eventually landing on Alpha Bryan and his fiancée. They stood together, poised and perfect, as the guests eagerly awaited the ring exchange. Suddenly, my view turned foggy. A mixed smell of rain and forest hit my nose. My wolf stirred, taking control of my movements. I tried to resist, but it was no use. I pushed the crowd and took long strides in front of the royal family. They turned their heads toward me. I could sense Bruce's eyes on me. However, my eyes were not on him but on his brother. As I drew near, Bryan's eyes also locked onto mine, burning with fury. He didn’t seem pleased to see me—not at all. My wolf could not take his cold look. Tears streamed out of my eyes. I could not stop myself from calling him in front of everyone. "MATE"	LEARN_MORE	https://cnwsx.com/market/goodnovel/1?lpid=15088&ut	Galaxy in the Story	https://www.facebook.com/61555427913037/	1,582	1969-12-31 18:00	Learn More	cnwsx.com	DCO		https://cnwsx.com/market/goodnovel/1?lpid=15088&utm_campaign={{campaign.name}}&utm_content={{campaign.id}}&adset_name={{adset.name}}&adset_id={{adset.id}}&ad_id={{ad.id}}&ad_name={{ad.name}}&placement={{placement}}	1969-12-31 18:00	https://scontent-iad3-2.xx.fbcdn.net/v/t39.35426-6/466732969_1209189833517661_6933314428754704425_n.jpg?stp=dst-jpg_s60x60&_nc_cat=109&ccb=1-7&_nc_sid=c53f8f&_nc_ohc=zYPjqGN2z_IQ7kNvgF1MJnO&_nc_zt=14&_nc_ht=scontent-iad3-2.xx&_nc_gid=A0p4E08cuVi92sb96tnpmm7&oh=00_AYDOuUnYS8rhyMPvetl2a8ynKYj08CFILbDyzyCzdlDS2Q&oe=6754132C	PERSON_PROFILE	0	Galaxy in the Story	1969-12-31 18:00	View Edit Delete
2,572,872	/src/Template/Ads/index.ctp (line 281) '{"alias":2572866}'	Yes	2024-12-02 20:12	active	1952	Lease $529/mo for 24 months, $2,000 Down†	VinFast VF 9 — $529/mo for 24 mo† Stunning Italian inspired design, with incredible craftsmanship from renowned firm Pininfarina Now scheduling test drives at 15 California locations! ☀️	LEARN_MORE	https://vinfast.rydeshopper.com/lp34/new-ev-player	Rydeshopper	https://www.facebook.com/rydeshopper/	32,555	1969-12-31 18:00	Learn More	vinfast.rydeshopper.com	DCO	Distinctive design with a human-centric approach	https://vinfast.rydeshopper.com/lp34/new-ev-player/	1969-12-31 18:00	https://scontent-iad3-2.xx.fbcdn.net/v/t39.35426-6/466977698_1085635603282416_3530164923028617241_n.jpg?stp=dst-jpg_s60x60&_nc_cat=109&ccb=1-7&_nc_sid=c53f8f&_nc_ohc=72rAGJBr4XEQ7kNvgGrtnhs&_nc_zt=14&_nc_ht=scontent-iad3-2.xx&_nc_gid=AoGJGbu7DRVjCqdocYGKROM&oh=00_AYAenNkHufTXILsuCV4qd-Pv9W3tnGDh6L7Ms8RoDPS0RA&oe=675428F0	PERSON_PROFILE	0	Rydeshopper	1969-12-31 18:00	View Edit Delete
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2,572,873	/src/Template/Ads/index.ctp (line 281) '{"alias":2572866}'	Yes	2024-12-02 20:12	active	1952	Lease $529/mo for 24 months, $2,000 Down†	VinFast VF 9 — $529/mo for 24 mo† Stunning Italian inspired design, with incredible craftsmanship from renowned firm Pininfarina Now scheduling test drives at 15 California locations! ☀️	LEARN_MORE	https://vinfast.rydeshopper.com/lp34/new-ev-player	Rydeshopper	https://www.facebook.com/rydeshopper/	32,555	1969-12-31 18:00	Learn More	vinfast.rydeshopper.com	DCO	Distinctive design with a human-centric approach	https://vinfast.rydeshopper.com/lp34/new-ev-player/	1969-12-31 18:00	https://scontent-iad3-2.xx.fbcdn.net/v/t39.35426-6/466977698_1085635603282416_3530164923028617241_n.jpg?stp=dst-jpg_s60x60&_nc_cat=109&ccb=1-7&_nc_sid=c53f8f&_nc_ohc=72rAGJBr4XEQ7kNvgGrtnhs&_nc_zt=14&_nc_ht=scontent-iad3-2.xx&_nc_gid=AoGJGbu7DRVjCqdocYGKROM&oh=00_AYAenNkHufTXILsuCV4qd-Pv9W3tnGDh6L7Ms8RoDPS0RA&oe=675428F0	PERSON_PROFILE	0	Rydeshopper	1969-12-31 18:00	View Edit Delete
2,568,612	/src/Template/Ads/index.ctp (line 281) '{"alias":2568154}'	No	2024-12-02 18:48	active	1950		🌟 Let’s Create the Perfect Memorial Together! 🌟 At The Memorial Man, we’re more than just a monument company—we’re your partner in celebrating and honoring the lives of those who mean the most to you. 💕 Every life is unique, and every story deserves to be remembered with care, beauty, and meaning. 🕊️ 📍 Where You Can Find Us: Culpeper Office: 12299 Rixeyville Rd, Culpeper, VA Barboursville Office: 3083 Spotswood Trail, Ste E, Barboursville, VA 📞 Contact Us: Office: 540-832-6693 Cell: 434-270-9894 📧 Email Us: jhoward@thememorialmanllc.com ✨ Why Families Choose The Memorial Man ✨ 🌸 Custom Designs: Your loved one’s memory is one-of-a-kind, and their monument should be too. We’ll work with you to craft a tribute as unique as their story. ⏱️ Quick Turnaround: We understand how important it is to have a memorial completed on time. Our team delivers beautiful results without delay. 💖 Decades of Trust: With over 20 years of experience, we’ve become pioneers in the memorial industry. Our clients are like family, and we’re proud to serve them with love and care. 🌟 Exceptional Quality: From premium all-natural granite to intricate designs, we use only the best materials and techniques to ensure each piece is built to last. 🛠️ What We Offer: ✨ Upright monuments, flat markers, and custom designs for every vision. ✨ Special memorials like angel sculptures, butterfly designs, and heart-shaped stones. ✨ Modern services like laser engraving and photo etching to capture memories beautifully. 💡 Let’s Make It Easy for You! 💡 We guide you every step of the way, from selecting the perfect design to completing the installation. Whether it’s a tribute for a family member, a beloved pet, or a temporary marker while waiting for a permanent headstone, we’ve got you covered. 🐾 Together, let’s create something meaningful that will stand the test of time. 💎 #TheMemorialMan 💐 #HonoringLegacies 🕊️ #CustomMonuments 🎨 #CraftedWithCare ❤️ #MemorialDesign 💎 #HeartfeltTributes 🌟 #GraniteCraftsmanship 🛠️ #CelebratingLife 🌸 #CulpeperVA 🏡 #MemoriesThatLastForever 🌈	MESSAGE_PAGE		The Memorial Man	https://www.facebook.com/thememorialman/	5,868	1969-12-31 18:00	Send message		MULTI_IMAGES			1969-12-31 18:00	https://scontent-iad3-2.xx.fbcdn.net/v/t39.35426-6/468931405_992396952919712_1127247420819603240_n.jpg?stp=dst-jpg_s60x60&_nc_cat=105&ccb=1-7&_nc_sid=c53f8f&_nc_ohc=pJLsvR6xRFkQ7kNvgF3djIM&_nc_zt=14&_nc_ht=scontent-iad3-2.xx&_nc_gid=Au2utiiVziWPZscRD1Jimhm&oh=00_AYBHSPQ7ArepYdDSUWJ6UzFCcnNbVm5y4LI_xWEFaP4gEw&oe=67541AAE	PERSON_PROFILE	0	The Memorial Man	1969-12-31 18:00	View Edit Delete
2,571,567	/src/Template/Ads/index.ctp (line 281) '{"alias":2571468}'	Yes	2024-12-02 20:12	active	1952	😍Read the next chapters👉	At Grace Mansion, Carissa Sinclair stared at the man before her—her husband she had waited for a whole year. Barrett Warren, still in his battle armor, wore an expression of both determination and guilt. "Carissa, the king has issued a royal edict for my marriage with Aurora. She will be joining our household. There's no question about it," said Barrett. Carissa's eyes clouded with confusion. "The queen dowager has praised General Yates as a model for all women in the kingdom. Would she be willing to be a concubine?" Barrett's eyes flashed with a hint of annoyance. "No, she won’t be a concubine. She’ll be my legal wife, equal to you." "But calling her equal doesn't change the fact that she’s still just a concubine," Carissa said, a soft smile playing on her lips. Barrett frowned. "Why can't you face the reality? Aurora and I fell in love with each other on the battlefield, and we earned this marriage with our glorified victory. In fact, I don’t really need your approval on it." Carissa smiled mockingly. "Fell in love, huh? Have you forgot what you promised me before you left for war?" On their wedding night a year ago, Barrett was called away to lead reinforcements on an expedition. Before he left, he lifted his wife’s veil and vowed, "Carrisa Sinclair, you're the only woman I'll ever love in my life. I will never take a concubine!" Embarrassed, Barrett avoided her eye contact. "Just forget what I said. Back then, I only considered you a suitable match for a wife. I knew nothing about love until I met Rory." When he spoke of the woman he loved, his eyes softened with deep affection. Turning back to Carissa, he added, "She’s unlike any woman I’ve ever met. I love her deeply, and I hope you'll be generous enough to welcome her." Carissa felt a lump in her throat. Despite her disgust and reluctance, she asked, "What about your parents? Do they agree?" "They do. It was a royal edict, and mother liked her a lot upon seeing her." They agreed? Huh... How ironic! Seems like everything Carissa had done for this household had all been for nothing. "Is she currently in the mansion?" Carissa asked, lifting a brow. Barrett carried a softness in his voice, "Yes, she’s talking to my mother and making her very happy. Even mother's health seems to be improving." "Improving?" Carissa felt a whirlwind of emotions. "When you went to war, your mother was already gravely ill. I brought in the best physician, managed the estate’s affairs by day, and stayed up nights caring for her. That's how her condition started to improve." Carissa wasn’t seeking praise. She was just laying out the facts of her exhausting year. "But seeing Aurora has made my mother feel even better," Barrett said earnestly. "I know this is unfair to you, but for the greater good, please support Aurora and me." Carissa lowered her eyes, as if blinking away the tears. But inspected closely, that's actually her sharpened gaze. "Invite General Yates over. I have a few things to ask her." "There's no need," Barrett refused instantly. "Carissa, she’s different from any woman you know. As a general, she’s above household squabbles and wouldn’t want to meet you." Carissa retorted, "What are women I know like? Or tell me, what kind of woman am I to you? Have you forgotten? I'm also the daughter of the Marquis's family. My father and my six brothers sacrificed on the Southern Frontier three years ago-" "That’s them," Barrett interrupted. "you're still a delicate woman suited only for home comforts, while Aurora has no respect for that. Besides, she never holds back her true thoughts. Trust me, you won't want to hear it from her." As Carissa looked up, the striking beauty mark under her eye became more evident in the light. Calmly, she said, "It’s fine. If she says anything unpleasant, I’ll ignore it. A true matriarch must understand the bigger picture and act with dignity. Don’t you trust me?" Barrett sighed in frustration. “Why put yourself through this? The king has approved this marriage, and Aurora will never threaten your control of the household. Carissa, she couldn't care less about those things.” “Oh, you think that's what I fear? Losing the control of this household?” Carissa countered. Little did Barrett know his household had been reduced to a hollow shell - managing it was a hot potato no one else would bear. Over the past year, it was Carissa's dowry alone that kept the Warren family’s life respectable, and this was her reward. “Enough,” Barrett snapped, his patience running thin. “I’ve done my duty by informing you. Your opinion won’t change anything.” As Carissa watched hum storm out, her bitterness deepened. “My lady, my lord has really crossed the line!” Lulu, Carissa’s maid, said, wiping her tears. “Don’t call him that!” Carissa gave her a stern look. “We never consummated the marriage. He’s not your lord. Now go fetch my dowry list.” “Why the dowry list?” Lulu asked, puzzled. Carissa tapped her on the forehead. “Silly girl, we need to reckon everything before we leave.” Lulu gasped. “Leave? But where can we go? To the Northwatch Estate?” Suddenly Lulu held her tongue, aware that she had touched the sensitive subject. She spared Carissa a guilty look, "I'll get the list now, my lady." Upon the mention of Northwatch Estate, the always restrained Carissa finally let her tears fall. When she was fifteen, her father, the Marquis of Northwatch, had sacrificed his life on the battlefield. Then, just six months ago, her entire family at the Northwatch Estate was brutally slaughtered — assassins rumored to be spies from the enemy nation, Westhaven. She rushed back after getting the news, only to find the dismembered bodies of her mother and grandmother. Even her youngest nephew, two years old, didn't escape death, neither. Now, she was the lone survivor of the marquis' family, the idea of restoring her family’s former glory seemed impossible—at least to outsiders. After all, she was presented mostly as a delicate, fragile woman, while Aurora Taytes had just made herself the first female general in history. It's only natural that the Warren family was more than happy to agree to the marriage. Yet, unbeknownst to the world, Carissa's martial talent was never beneath her father and brothers. If given a chance on the battlefield, she would definitely outshine Aurora Taytes, perhaps a million times more... Just then, Lulu had brought over the dowry list, "My lady, this year alone, you've spent over six thousand silver coins supporting the household. However, the shops, houses, and estates remain untouched. All the bank savings, along with the property deeds and land titles your mother left, are locked up in the chest." "I see." Carisse's gaze lingered on the list with melancholy. Her mother had given her such a substantial dowry, fearing she might face hardship in her husband's home. Yet now here she was. The Warren family had disregarded all her effort, and Barrett had even broken his vow to take no concubine - the very promise that led her mother to choose him over more eligible suitors, despite the Warren family’s fall from grace. 'Was this really the life mother wanted me to have?' It took Carissa no time to made up her mind. “Lulu, get prepared. There's somewhere we need to go tomorrow.” ... Early the next morning, Carissa and Lulu boarded a carriage, heading straight for the royal palace. It was noon by the time they arrived. Under the scorching autumn sun, Carissa and Lulu stood like statues in front of the palace gates. They waited for a full hour, but no one came to let them in. In the palace's study, Derek Walker had already reported Carissa’s arrival to the king three times. “Your Majesty, Mrs. Warren is still waiting outside the palace gates,” he repeated. The king, Salvador Quinton, set aside the document he was reading and rubbed his temples. “I can’t summon her in. The edict has been issued, and can't be taken back. Tell her to go home.” “The guards tried to persuade her, but she refused to leave. She’s been standing there for over an hour without moving.” Salvador felt a pang of guilt. “Barrett requested the marriage as a reward for his military service. I didn’t want to agree, either, but not granting it would embarrass both him and General Yates. They have after all won a big war.” “Your Majesty, when it comes to military achievements, no one can compare to the Marquis of Northwatch,” Derek countered. Salvador thought of Hector Sinclair, the Marquis of Northwatch. When Salvador was a crown prince who had recently joined the military, it was Hector who had guided him. Back then, he had also known Carissa when she was only a cute kid. Salvador himself had fought a bloody path to the throne, paved with death. He understood the struggles of military officers, so when Barrett requested marriage as a reward, Salvador had hesitated but eventually agreed. But Derek was right. In terms of military merit, Barrett and Aurora were far inferior to Hector Sinclair. “Alright, let her in. If she agrees to this marriage, I’ll grant her whatever she wants, even if it's a noble title or an official rank,” said Salvador. Derek breathed a sigh of relief. “As always, you're wise, Your Majesty!” ... Carissa knelt in the study with her head bowed. Recalling that Carissa was now the only one left the Sinclair family, Salvador felt nothing but pity for her. "Rise and speak," he commanded. Carissa bowed deeply with her hands clasped. "Your Majesty, I know it's presumptuous of me to seek an audience today. But I also wish to implore for your grace." "Carissa Sinclair, I have already issued the edict of marriage. It's impossible to revoke it," Salvador said. Carissa shook her head gently. "Your Majesty, I'm not imploring you to reverse that edict, but imploring you for another edict - an amicable divorce with General Warren." The young king was taken aback. "Divorce? You want a divorce?" Carissa nodded her head firmly. She was never someone to pester some man. If Barret Warren loved Aurora Yates so much, then she would let him go. What she needed now was a single edict for an amicable divorce, so she could take away all her dowery and get rid of the despicable Warren family for good, dignified and head high...	LEARN_MORE	https://shgjfh.com/market/goodnovel/1?lpid=13853&u	Random Reading	https://www.facebook.com/61559743679549/	323	1969-12-31 18:00	Learn More	shgjfh.com	DCO		https://shgjfh.com/market/goodnovel/1?lpid=13853&utm_campaign={{campaign.name}}&utm_content={{campaign.id}}&adset_name={{adset.name}}&adset_id={{adset.id}}&ad_id={{ad.id}}&ad_name={{ad.name}}&placement={{placement}}	1969-12-31 18:00	https://scontent-iad3-2.xx.fbcdn.net/v/t39.35426-6/463076519_523298044026874_3884852766861475102_n.jpg?stp=dst-jpg_s60x60&_nc_cat=109&ccb=1-7&_nc_sid=c53f8f&_nc_ohc=IXX_FsesB8MQ7kNvgFgc_6A&_nc_zt=14&_nc_ht=scontent-iad3-2.xx&_nc_gid=Aq5dJYQdBupLp8RBM1KTeX7&oh=00_AYBX3UqGxLAm6MEuR-huvdpJLM3e4Y-IibHE1rgJDzSUMQ&oe=67543A8E	PERSON_PROFILE	0	Random Reading	1969-12-31 18:00	View Edit Delete
2,571,897	/src/Template/Ads/index.ctp (line 281) '{"alias":2571698}'	Yes	2024-12-02 20:12	active	1952	🔞Attention! Do not read in public！👉	As the daughter of Alpha, I have been abused by my brother Alpha Trey and the pack, all because of an unforgivable mistake I made at 6. Ouch! Beta Kyle rudely kicks me to the floor in front of the office door and yells, “Useless Stupid Wolf! Clean the office asap! Our guest, Alpha Dane will be arriving soon!” Alpha Dane, I had only ever heard rumours about him. He was a ruthless man, a Wolf feared by others. He didn’t mess around and he had the largest pack. “He is the Alpha of Black Shadow, the biggest pack in the world, we need him!” Beta Kyle continues. He digs his nails into my thinning skin before he moves away. Quietly closing the door, I lean back against it, observing the already clean office. There was nothing out of place, it looked perfectly fine for a meeting with this so-called powerful Alpha. I hated this house. I thought that when I turned 18, I could finally escape, but 4 years later, here I still am, a slave in my own home. Doing all the dirty tasks for my brother, Alpha Trey and the pack. While my ex mate, Beta Kyle waltzes around reminding me of how worthless I am. Closing my eyes, I slide down to the floor. “Uhheem” Someone clears their throat and I freeze, I thought I was alone. Leaning forward, I see a handsome man sitting in a chair, just around the corner. A foot propped up on his knee as he nurses a glass of alcohol. His short hair is dark and his eyes are a deep crimson colour, that don’t quite look right. They suddenly shift to me and I throw myself back against the door as my heart pounded. “Is this the way you greet all Alpha’s?” His deep voice rumbles through the room, there was an edge of amusement to his tone. “I’m sorry.” I whisper, getting to my feet. “I…I thought I was alone.” I had no idea who he was but I could feel the power radiating off of him, even without my Wolf. “Come forward.” He orders and I already feel a lump forming in my throat. Alpha Trey was going to kill me. I step around the corner, doing as I’m told, allowing him to see me properly. I close my eyes, expecting the worst. “You smell funny. Yet you are a Wolf, correct?” I nod, though I couldn’t tell how he was going to react. Most laughed when they found out about me. “I would prefer it if you spoke to me.” He growls, “I’m not in the mood to play games.” “Yes.” I whisper. I couldn’t help but think of all the punishments I was going to have to endure. A whipping maybe? Starvation for another week? “Why do you smell strange? And how is it possible for you to not know I was in the room? You should have scented me.” “I…” I hated the question. “Spit it out, I haven’t got all day!” His deep voice sends a shiver through me, “You should open your eyes when you are talking to someone. It’s rude to not look at them.” Slowly, I open my eyes and lower them, there was no way I was making eye contact. “My Wolf abilities were bound,” I mutter. Twice, I wanted to add. Twice my abilities were bound. But he probably wasn’t interested in that part. He leans forward, carefully placing his glass on the small table next to the chair. I could feel him staring at me, “Why would someone do that?” If this is the Alpha that my brother is supposed to be meeting with, I knew I could screw everything up for him by saying too much. “It was a punishment.” I whisper. It wasn’t far from the entire truth but it was the simplest answer I could give. There’s a twitch in his cheek. Was he angry to hear of such a punishment? Or maybe, just like the others, he was amused by it. I couldn’t tell. The door swings open and my brother screeches at me “Neah, what the fuck are you doing in my office?” He turns to the crimson eyed man. “I am so sorry that my sister is bothering you, Alpha Dane.” Crap, it was him. My brother spins around, his hand stretching out to hit me. I close my eyes, bracing myself, ready to feel the burn. “I wouldn’t do that if I were you.” Alpha Dane’s voice rumbles through the room. Peeking through slits, I see Alpha Dane has risen to his feet, his hand coiled around my brother's wrist. He was taller than my brother, more muscly too. “Neah,” My name rolls off of his tongue, “was kindly showing me to your office, Alpha Trey, as you failed to meet me at the front of your house like I requested. I was lucky someone was present, at least someone understands the importance of this deal.” What? I had no idea what he was talking about. And he had no reason to lie for me. My brother glares at me, clenching his jaw tight. I was going to pay for this later. I would have to try and steal some food. “Get out now!” Alpha Trey seethes. I nod my head and hurry from the room, the last thing I wanted was to be caught between bickering men. I try to keep myself busy to stay as far away from the office as possible. My peace is short-lived when I hear my brother calling out for champagne and some glasses. Quickly finding what he asked for, I bow my head as I re-enter the office. I can feel Alpha Dane watching my every move; even the hairs on the back of my neck stand up. No one has ever watched me this closely. Approaching the small table by Alpha Danes chair, I start to fill the glasses. He takes the champagne bottle from me, telling me he is more than capable of filling his own glass. I feel my cheeks flame, not from embarrassment, but because I knew that I would be punished for this. I should have been quicker. I should have filled the glasses before entering the office. I should have…. My brain freezes when I see my brother glaring at me. “Neah is your sister, correct?” Alpha Dane questions my brother. “She is.” Alpha Trey mutters with disgust. “Why do you treat her like shit?” Straight to the point, my brother wouldn’t like that. No one had spoken to my brother about his treatment of me because everyone took great joy in beating me. I didn’t know what to do. I couldn’t move but I knew I had to get out of there. If this deal goes to pot because of me, then that would be my fault too. “She's an unforgiven murderer.” Alpha Trey spits I closed my eyes, battling back the tears that were threatening to break free. “Murdered who?” Alpha Dane’s voice rumbles through me. He was definitely angry. “Our parents.”	LEARN_MORE	https://wwwedb.com/market/meganovel/13?lpid=11783&	New world publications	https://www.facebook.com/100090352943774/	3,764	1969-12-31 18:00	Learn More	wwwedb.com	DCO		https://wwwedb.com/market/meganovel/13?lpid=11783&utm_campaign={{campaign.name}}&utm_content={{campaign.id}}&adset_name={{adset.name}}&adset_id={{adset.id}}&ad_id={{ad.id}}&ad_name={{ad.name}}	1969-12-31 18:00	https://scontent-iad3-2.xx.fbcdn.net/v/t39.35426-6/463716564_849071077033660_7419585111381032995_n.jpg?stp=dst-jpg_s60x60&_nc_cat=105&ccb=1-7&_nc_sid=c53f8f&_nc_ohc=abhXWnX6srAQ7kNvgFccm8n&_nc_zt=14&_nc_ht=scontent-iad3-2.xx&_nc_gid=ApvClzotAfR5NlviZ-XCtHq&oh=00_AYCc3zP4ArsZLPgXjruYEBQxuNw7W8uw07BNm2WOIFhcZw&oe=675433B4	PERSON_PROFILE	0	New world publications	1969-12-31 18:00	View Edit Delete
2,571,821	/src/Template/Ads/index.ctp (line 281) '{"alias":2571468}'	Yes	2024-12-02 20:12	active	1952	🔞Attention! Do not read in public！👉	"I, Barrett Warren, vow with my life that I'll take no concubine! Carissa Sinclair shall be my one and only!" These were the words that convinced Carissa Sinclair, the daughter of general, to hide her martial talents and forsake her promising future to marry into the crumbling Warren family. Even on their wedding night, when Barrett was abruptly summoned to the battlefield, Carissa never complained. She used her dowry to support the struggling Warren household, waiting faithfully for his return. But she never imagined that when Barrett finally returned, the first thing he would do was marrying his new love... --- At Grace Mansion, Carissa Sinclair stared at the man before her—her husband she had waited for a whole year. Barrett Warren, still in his battle armor, wore an expression of both determination and guilt. "Carissa, the king has issued a royal edict for my marriage to Aurora." he said, his voice steady, " She will be joining our household. There's no question about it." Carissa's eyes clouded with confusion. "The queen dowager has praised General Yates as a model for all women in the kingdom. Would she be willing to be a concubine?" Barrett's eyes flashed with a hint of annoyance. "No, she won’t be a concubine. She’ll be my legal wife, equal to you." "But calling her equal doesn't change the fact that she’s still just a concubine," Carissa said, a soft smile playing on her lips. Barrett frowned. "Why can't you face the reality? Aurora and I fell in love with each other on the battlefield, and we earned this marriage with our glorified victory. In fact, I don’t really need your approval on it." Fell in love? Huh, looks like he is determined in breaking the vow he made a year ago... Carissa's soft smile wiped off by a mocking one, she had once believed Barrett’s victory would earn him a higher rank, freeing her from the burden of supporting the Warren household with her dowry. Yet instead, in exchange for his victory, he only asked the king for another woman's hand, and now he even dared to silence her with his so-called 'glorified victory'... Carissa felt a lump in her throat. Despite her disgust and reluctance, she asked, "What about your parents? Do they agree?" "They do. It was a royal edict, and Aurora is amicable. Mother liked her a lot upon seeing her, even her health seems to be improving." "Improving?" Carissa felt a whirlwind of emotions. "When you went to war, your mother was already gravely ill. I brought in the best physician, managed the estate’s affairs by day, and stayed up nights caring for her. That's how her condition started to improve." "But seeing Aurora has made my mother feel even better," Barrett said earnestly. "I know this is unfair to you, but for the greater good, please be generous enough to welcome Aurora." Carissa lowered her eyes, as if blinking away the tears. But inspected closely, that's actually her sharpened gaze. "Invite General Yates over. I have a few things to ask her." "There's no need," Barrett refused instantly. "Carissa, she’s different from any woman you know. As a general, she’s above household squabbles and wouldn’t want to meet you." Carissa retorted, "What are women I know like? Or tell me, what kind of woman am I to you? Have you forgotten? I'm also the daughter of the Marquis's family. My father and my six brothers sacrificed on the Southern Frontier three years ago-" "That’s them." Barrett interrupted, "You're still a delicate woman suited only for home comforts, while Aurora has no respect for that. Besides, she never holds back her true thoughts. Trust me, you won't want to hear it from her. Also rest assured. Mother has promised me that Aurora will never threaten your control of the household. Carissa, she couldn't care less about those things." “Oh, that's what you and mother think I fear? Losing the control of this household?” Carissa couldn't help but laughing. Little did Barrett know his household had been reduced to a hollow shell - managing it was a hot potato no one else would bear. Over the past year, it was Carissa's dowry alone that kept the Warren family’s life respectable, and this was her reward. “Enough,” Barrett snapped, his patience running thin. “I’ve done my duty by informing you. Your opinion won’t change anything.” As Carissa watched hum storm out, her bitterness deepened. “My lady, my lord has really crossed the line!” Lulu, Carissa’s maid, said, wiping her tears. “Don’t call him that!” Carissa gave her a stern look. “We never consummated the marriage. He’s not your lord. Now go fetch my dowry list.” “Why the dowry list?” Lulu asked, puzzled. Carissa tapped her on the forehead. “Silly girl, we need to reckon everything before we leave.” Lulu gasped. “Leave? But where can we go? To the Northwatch Estate?” Suddenly Lulu held her tongue, aware that she had touched the sensitive subject. She spared Carissa a guilty look, "I'll get the list now, my lady." Upon the mention of Northwatch Estate, the always restrained Carissa finally let her tears fall. When she was fifteen, her father, the Marquis of Northwatch, had sacrificed his life on the battlefield. Then, just six months ago, her entire family at the Northwatch Estate was brutally slaughtered — assassins rumored to be spies from the enemy nation, Westhaven. She rushed back after getting the news, only to find the dismembered bodies of her mother and grandmother. Even her youngest nephew, two years old, didn't escape death, neither. Now, she was the lone survivor of the marquis' family, the idea of restoring her family’s former glory seemed impossible—at least to outsiders. After all, she was presented mostly as a delicate, fragile woman, while Aurora Taytes had just made herself the first female general in history. It's only natural that the Warren family was more than happy to agree to the marriage. Yet, unbeknownst to the world, Carissa's martial talent was never beneath her father and brothers. If given a chance on the battlefield, she would definitely outshine Aurora Taytes, perhaps a million times more... Just then, Lulu had brought over the dowry list, "My lady, this year alone, you've spent over six thousand silver coins supporting the household. However, the shops, houses, and estates remain untouched. All the bank savings, along with the property deeds and land titles your mother left, are locked up in the chest." "I see." Carisse's gaze lingered on the list with melancholy. Her mother had given her such a substantial dowry, fearing she might face hardship in her husband's home. Yet now here she was. The Warren family had disregarded all her effort, and Barrett had even broken his vow to take no concubine - the very promise that led her mother to choose him over more eligible suitors, despite the Warren family’s fall from grace. 'Was this really the life mother wanted me to have?' It took Carissa no time to made up her mind. “Lulu, get prepared. There's somewhere we need to go tomorrow.” ... Early the next morning, Carissa and Lulu boarded a carriage, heading straight for the royal palace. It was noon by the time they arrived. Under the scorching autumn sun, Carissa and Lulu stood like statues in front of the palace gates. They waited for a full hour, but no one came to let them in. In the palace's study, Derek Walker had already reported Carissa’s arrival to the king three times. “Your Majesty, Mrs. Warren is still waiting outside the palace gates,” he repeated. The king, Salvador Quinton, set aside the document he was reading and rubbed his temples. “I can’t summon her in. The edict has been issued, and can't be taken back. Tell her to go home.” “The guards tried to persuade her, but she refused to leave. She’s been standing there for over an hour without moving.” Salvador felt a pang of guilt. “Barrett requested the marriage as a reward for his military service. I didn’t want to agree, either, but not granting it would embarrass both him and General Yates. They have after all won a big war.” “Your Majesty, when it comes to military achievements, no one can compare to the Marquis of Northwatch,” Derek countered. Salvador thought of Hector Sinclair, the Marquis of Northwatch. When Salvador was a crown prince who had recently joined the military, it was Hector who had guided him. Back then, he had also known Carissa when she was only a cute kid. Salvador himself had fought a bloody path to the throne, paved with death. He understood the struggles of military officers, so when Barrett requested marriage as a reward, Salvador had hesitated but eventually agreed. But Derek was right. In terms of military merit, Barrett and Aurora were far inferior to Hector Sinclair. “Alright, let her in. If she agrees to this marriage, I’ll grant her whatever she wants, even if it's a noble title or an official rank,” said Salvador. Derek breathed a sigh of relief. “As always, you're wise, Your Majesty!” ... Carissa knelt in the study with her head bowed. Recalling that Carissa was now the only one left in the Sinclair family, Salvador felt nothing but pity for her. "Rise and speak," he commanded. Carissa bowed deeply with her hands clasped. "Your Majesty, I know it's presumptuous of me to seek an audience today. But I also wish to implore for your grace." "Carissa Sinclair, I have already issued the edict of marriage. It's impossible to revoke it," Salvador said. Carissa shook her head gently. "Your Majesty, I'm not imploring you to reverse that edict, but imploring you for another edict - an amicable divorce with General Warren." The young king was taken aback. "Divorce? You want a divorce?" Carissa nodded her head firmly. She was never someone to pester some man. If Barret Warren loved Aurora Yates so much, then she would let him go. What she needed now was a single edict for an amicable divorce, so she could take away all her dowry and get rid of the despicable Warren family for good, dignified and head high...	LEARN_MORE	https://shgjfh.com/market/goodnovel/1?lpid=13853&u	Random Reading	https://www.facebook.com/61559743679549/	323	1969-12-31 18:00	Learn More	shgjfh.com	DCO		https://shgjfh.com/market/goodnovel/1?lpid=13853&utm_campaign={{campaign.name}}&utm_content={{campaign.id}}&adset_name={{adset.name}}&adset_id={{adset.id}}&ad_id={{ad.id}}&ad_name={{ad.name}}&placement={{placement}}	1969-12-31 18:00	https://scontent-iad3-1.xx.fbcdn.net/v/t39.35426-6/465007860_556303920324636_9012944690241824242_n.jpg?stp=dst-jpg_s60x60&_nc_cat=104&ccb=1-7&_nc_sid=c53f8f&_nc_ohc=X1J2Mj-0YPgQ7kNvgF3oeQy&_nc_zt=14&_nc_ht=scontent-iad3-1.xx&_nc_gid=ApvClzotAfR5NlviZ-XCtHq&oh=00_AYCol_spDr7DJs20vDHBakup4NKCRMOIj8MpJvrXxmV2vw&oe=675421C2	PERSON_PROFILE	0	Random Reading	1969-12-31 18:00	View Edit Delete
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2,572,974	/src/Template/Ads/index.ctp (line 281) '{"alias":2572976}'	Yes	2024-12-02 20:12	active	1952	Now Hiring A-Level Techs		APPLY_NOW	https://www.ksautocare.com/?utm_campaign=gmb	KS Autocare	https://www.facebook.com/ksauto/	637	1969-12-31 18:00	Apply Now	ksautocare.com	CAROUSEL		https://www.ksautocare.com/?utm_campaign=gmb	1969-12-31 18:00	https://scontent-iad3-1.xx.fbcdn.net/v/t39.35426-6/469052884_500409406381669_1891015742862885583_n.jpg?stp=dst-jpg_s60x60_tt6&_nc_cat=110&ccb=1-7&_nc_sid=c53f8f&_nc_ohc=lcNeT7CDTqcQ7kNvgG9corP&_nc_zt=14&_nc_ht=scontent-iad3-1.xx&_nc_gid=A7XPiU20mEWzBqudqZijjX8&oh=00_AYApJzWqKfzPhnXHDaRrWrKQGA2PZIpGNgXayjvruThBaQ&oe=6754242C	PERSON_PROFILE	0	KS Autocare	1969-12-31 18:00	View Edit Delete
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